Qui sommes-nous ? AFS – Association française de sociologie

Prenant la suite de la Société française de sociologie, l’Association française de sociologie (AFS) a été fondée le 22 mars 2002. Ouverte à tou.te.s les sociologues francophones quel que soit leur statut ou leur lieu d’exercice, elle vise autant à organiser la discipline qu’à la représenter. Elle compte actuellement plus de 1555 membres regroupé.e.s en 50 Réseaux Thématiques.

Ses activités sont pilotées par un comité exécutif composé de vingt et un membres, élu.e.s pour quatre ans. C’est à l’occasion de son congrès, tous les deux ans, que l’Assemblée générale se réunit et qu’elle procède à l’élection du comité exécutif et de la présidence.

Les activités de l’association sont répertoriées sur ce site, mais également sur le Carnet Hypothèses de l’association (https://afs.hypotheses.org/), tous deux complétés par la revue en ligne Socio-logos (https://journals.openedition.org/socio-logos/).

 

Article 1.

Il est formé, sous le titre “Association française de sociologie”, une association sous le régime de la loi du 1er juillet 1901 et le décret du 16 Août 1901 qui prend la suite de la Société française de sociologie. Son siège social est à Paris 17e, 59 rue Pouchet.

Article 2.

L’Association française de sociologie se propose de favoriser le développement de la sociologie dans tous les domaines, théoriques et pratiques, en multipliant les rapports entre sociologues et les contacts avec d’autres disciplines. Elle représente et promeut la sociologie française au sein des organismes internationaux.

Article 3.

L’Association peut faire des publications, subventionner des études et des recherches, constituer des centres d’études et d’information, établir des prix destinés à récompenser des travaux scientifiques et professionnels, organiser des conférences, des réunions d’études ou d’autres débats, et, d’une manière générale, prendre toutes les initiatives de nature à contribuer au développement de la sociologie. L’Association organise tous les deux ans un congrès dont l’objectif est de permettre au plus grand nombre de sociologues de présenter leurs recherches individuelles et collectives et d’en débattre. L’Association encourage l’activité de réseaux de sociologues en lien ou non avec les comités de recherche internationaux.

Article 4. 

L’Association se compose de membres individuels et de membres collectifs.
Peut faire partie de l’association toute personne ayant un diplôme de niveau Master de sociologie (ou équivalent) ou, plus généralement, ayant une activité de sociologue.
Les membres bienfaiteurs versent une cotisation supérieure à celle des membres individuels. Ils ont les mêmes droits et obligations que les membres individuels. Les laboratoires de recherche, associations et comités de sociologues, etc. s’intéressant au développement de la sociologie peuvent devenir membres collectifs de l’Association. Ils et elles devront à cet effet adresser une demande écrite au Comité exécutif et s’acquitter d’un droit d’adhésion fixé par le règlement intérieur. Chaque personne désignée par cette adhésion collective dispose des mêmes droits que les adhérent·es individuel·les.

Article 5.

L’Association est dirigée par l’Assemblée Générale comprenant tou·te·s les membres à jour de leur cotisation. Seuls les membres individuels présents ou représentés (une seule procuration par électeur) y ont le droit de vote. L’Assemblée Générale se réunit tous les ans (dont une année sur deux dans le cadre du congrès). Toutefois le Comité exécutif peut décider que d’autres réunions auront lieu. L’Assemblée Générale doit être convoquée à la demande d’un tiers des membres à jour de leur cotisation. L’Assemblée examine les rapports administratifs et financiers du Comité exécutif. Lors de l’Assemblée générale qui se réunit au Congrès, elle procède au renouvellement du Comité exécutif comme il est dit à l’article 6, et lui donne les directives générales pour les deux années suivantes.

Article 6.

L’Association française de sociologie est administrée par un Comité exécutif composé de 16 membres adhérent·es de l’AFS au minimum et de 27 membres au maximum, élu·es pour quatre ans par l’Assemblée Générale lors du Congrès de l’Association française de sociologie.

Le Comité exécutif comprend un·e Président·e élu·e pour deux ans (renouvelable une fois) directement par l’Assemblée générale à la majorité simple ou deux Co-Président·e·s choisi·es en son sein et élu·es en binôme pour deux ans (renouvelable une fois) directement par l’Assemblée générale à la majorité simple. Le Bureau du Comité exécutif comprend le/la Président·e ou les deux Co-Président·es, le/la Trésorier·ère, le/la Responsable des relations avec les RT, le/la Référent·e éthique, le/la Rédact·eur·rice en chef de la revue Socio-logos, et le/la Secrétaire Général·e. Les membres du Bureau sont élu·e·s par le Comité exécutif. Les membres du Bureau doivent être choisi·e·s parmi les membres du Comité exécutif.

Les déclarations de candidature pour le Comité exécutif sont enregistrées par le/la Secrétaire général·e avant l’ouverture de l’Assemblée Générale. La liste des candidatures est envoyée avec la convocation à l’Assemblée générale qui peut cependant décider d’accepter d’autres candidatures après avoir été convoquée.

L’Assemblée générale peut voter la révocation du ou de la Président·e ; du ou de la Co-Président·e à la demande d’un tiers des présent·es à l’Assemblée générale. La révocation est votée à la majorité simple. En cas de révocation, l’assemblée générale procède à une nouvelle élection de la Présidence selon les modalités indiquées dans l’article 6.

Article 7.

Le Comité exécutif de l’Association française de sociologie peut inviter des représentant·e·s d’autres associations à prendre part à ses débats.

Article 8.

Tout membre peut démissionner par déclaration écrite au/à la Secrétaire général·e. Le non-paiement de la cotisation annuelle pendant deux années successives vaut déclaration de démission.

Article 9. 

Le Comité exécutif fixe et applique un Règlement Intérieur qui précise notamment les conditions d’adhésion des membres, les motifs et procédures de sanction ou d’exclusion, l’organisation interne du Comité exécutif, les montants des cotisations pour adhérer à l’association. L’exclusion d’un membre peut être prononcée par le comité exécutif pour motif grave.

Article 10.

En dehors de l’Assemblée Générale, l’Association tient périodiquement des réunions ordinaires pour discuter les questions de sociologie qui sont de son ressort. Aucune question relative à l’administration de l’Association ne peut être examinée dans ces réunions.

Article 11.

Les statuts peuvent être modifiés par une Assemblée Générale convoquée par le Comité exécutif ou à la demande d’un tiers des membres de l’Association. Cette Assemblée ne peut décider de modifications des statuts de l’association qu’à la majorité des deux tiers des présent·e·s.

Article 12.

En cas de dissolution volontaire ou obligatoire, l’Assemblée Générale désigne une ou plusieurs commissions chargées de la liquidation des biens de l’Association et indique les conditions dans lesquelles les membres de l’Association pourront être autorisé·e·s à reprendre leurs apports et l’emploi qui sera fait du surplus de l’actif net.

Article 13.

Dispositions transitoires : l’Assemblée Générale extraordinaire qui vote les présents statuts élit à la majorité simple des présent·e·s un bureau provisoire (Président·e, Vice-Président·e, Trésorier·ère, Secrétaire Général·e) chargé d’organiser dans les trois mois une Assemblée générale qui mettra en place les instances ordinaires de l’Association conformément aux présents statuts.

 
 

 

Ce règlement intérieur a pour objectif de préciser les statuts de l’Association française de sociologie, dont l’objet est de favoriser le développement de la sociologie dans tous les domaines, théoriques et pratiques, en multipliant les rapports entre sociologues et les contacts avec d’autres disciplines.

Ce règlement est remis à l’ensemble des membres et est également consultable sur le site internet de l’association.

Titre I : Membres

Article 1er — Composition

L’Association française de sociologie est composée des membres adhérent·e·s.

Article 2 — Cotisation

Les membres adhérent·e·s doivent s’acquitter d’une cotisation et signer la Charte de l’Association française de sociologie pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles.

Le montant de la cotisation est fixé tous les deux ans par le Comité exécutif de l’Association française de sociologie.

Pour la période courant d’avril 2025 à avril 2027, le montant de la cotisation est fixé à :

  • Pour les titulaires de l’Enseignement Supérieur et la Recherche (MCF, PR, CR, DR, Ingénieur·e·s, etc.), les retraité·e·s (dont émérites), les salarié·e·s en contrat à durée indéterminée : 114 euros.
  • Pour les non-titulaires de l’Enseignement Supérieur et la Recherche (doctorant·e·s, docteur·e·s, etc.), les technicien·ne·s, les salarié·e·s en contrat à durée déterminée, les personnes sans emploi : 45 euros.

Toute cotisation versée à l’association est définitivement acquise. Aucun remboursement de cotisation ne peut être exigé en cas de démission, d’exclusion ou de décès d’un·e membre en cours d’année.

Le non-paiement de la cotisation vaut démission (c’est-à-dire renoncement à son adhésion).

Article 3 — Admission de nouveaux et nouvelles membres 

L’Association française de sociologie peut à tout moment accueillir de nouveaux et nouvelles membres.

Article 4 — Démission, Décès, Disparition

Conformément à l’article 8 des statuts de l’association, le ou la membre démissionnaire devra adresser sous lettre ou par courrier électronique sa décision au/à la Secrétaire général·e.

Le ou la membre démissionnaire ne peut prétendre à une restitution de cotisation.

En cas de décès, la qualité de membre s’efface avec la personne.

Titre II : Fonctionnement de l’association

Article 5 — Le Comité exécutif

Conformément à l’article 9 des statuts de l’association, le Comité exécutif a pour objet de fixer le Règlement intérieur, d’organiser un Congrès tous les deux ans, d’organiser des groupes de travail, d’assurer le lien avec les Réseaux thématiques, de représenter l’Association française de sociologie auprès d’autres associations nationales ou internationales, de gérer la revue de l’association Socio-logos, de gérer le site internet de l’association, et d’intervenir sur les sujets qu’il estime liés aux missions de l’association.

Il est composé au minimum de 16 membres adhérent·e·s de l’Association française de sociologie et de 22 membres au maximum. Ces membres sont élu·e·s pour quatre ans lors de l’Assemblée générale qui se tient pendant le congrès de l’Association française de sociologie. La composition du Comité exécutif doit respecter les équilibres de sexe et de statuts, mais aussi d’origine géographique. Le comité exécutif est renouvelé pour moitié tous les deux ans à chaque congrès.

Le Comité exécutif se réunit en plénière au moins une fois tous les deux mois (en présentiel ou distanciel).

Il peut être sollicité par ses membres via l’adresse du secrétariat de l’association : contact@afs-socio.fr

Article 6 — Le bureau

Conformément à l’article 6 des statuts de l’association, le bureau assure le suivi quotidien de l’association.

Il est composé du président ou de la présidente de l’association ; ainsi que 5 autres membres élu·e·s par le comité exécutif. Chacun·e de ces membres devra occuper une de ces fonctions : secrétaire général·e, trésorier·e, représentant·e des relations avec les RT, responsable du groupe « Éthique professionnelle » et rédacteur·trice en chef·fe de la revue de l’association.

La composition du bureau doit respecter les équilibres de sexe et de statuts, mais aussi d’origine géographique.

Ses membres sont élu·e·s tous les deux ans lors de la première réunion du nouveau Comité exécutif, parmi le Comité exécutif.

Le bureau se réunit autant de fois que nécessaire.

Le bureau procède à un entretien professionnel annuel (si possible durant le mois de décembre) avec le ou la gestionnaire de l’Association française de sociologie. Cet entretien vise notamment à faire le bilan des activités réalisées, à préciser les problèmes rencontrés dans l’activité de travail, et à établir un plan de formation. Le bureau évalue chaque année, durant le mois de janvier, si le salaire du ou de la gestionnaire doit être augmenté et fixe, le cas échéant, le montant de cette augmentation.

Article 7  — Assemblée générale ordinaire

Conformément à l’article 6 des statuts de l’association, l’Assemblée générale ordinaire se réunit une fois par an sur convocation du bureau de l’Association française de sociologie.

Le Comité exécutif peut décider que d’autres réunions auront lieu.

L’Assemblée générale peut être convoquée à la demande d’un tiers des membres à jour de leur cotisation.

Lors de l’Assemblée générale sont examinés les rapports administratifs et financiers du Comité exécutif.

L’Assemblée générale procède tous les deux ans, lors du Congrès, au renouvellement du Comité exécutif et de la Présidence comme il est dit à l’article 6 des statuts de l’Association française de sociologie, et lui donne les directives générales pour les deux années suivantes.

Seul·e·s les membres adhérent·e·s sont autorisé·e·s à participer et à voter. Les votes par procuration ne sont pas autorisés.

En cas de vacance de la Présidence durant son mandat (démission, décès, exclusion), le CE choisit en son sein un·e président·e ou deux co-président·e·s qui seront en poste jusqu’à la prochaine Assemblée générale.

Article 8 — Assemblée générale Extraordinaire

Conformément à l’article 5 des statuts de l’association, une Assemblée générale Extraordinaire peut être convoquée par le Comité exécutif en cas de démission d’un tiers des membres du CE, de remplacement de la Présidence, de vote sur la dissolution de l’association.

Une Assemblée générale Extraordinaire peut être convoquée à la demande d’un tiers des membres à jour de leur cotisation.

Les votes par procuration ne sont pas autorisés.

Article 9 — Groupes de travail et réseaux thématiques

Des groupes de travail peuvent être constitués par décision du Comité exécutif. Ils peuvent porter sur des thématiques jugées prioritaires par le CE de l’AFS, ou sur sollicitation de ses adhérent·e·s. Ces groupes de travail sont propres au CE.

L’AFS s’organise en réseaux thématiques (RT) liés à des objets, des questionnements, des méthodologies de la sociologie. Les réseaux thématiques concernent l’ensemble des membres de l’AFS.

Chaque RT élit en son sein un bureau, renouvelé tous les deux ans, et des représentant·e·s qui sont en lien avec le Comité exécutif. Chaque bureau de RT organise la vie scientifique au sein du RT (appels à communication, sélection des présentations, organisation d’ateliers/séminaires/journées d’étude/colloques/conférences, gestion des réseaux sociaux, de carnets, de revues, etc.).

La création d’un nouveau RT ou la fusion de plusieurs RT doivent être approuvées par le Comité exécutif.

La composition des bureaux des RT doit respecter les équilibres de sexe et de statuts, mais aussi d’origine géographique.

La majorité du bureau d’un RT peut décider de la dissolution d’un RT, mais aussi de l’exclusion d’un·e de ses membres. À ce titre, le groupe « Éthique professionnelle  » peut être saisi.

Si à l’issue de deux congrès consécutifs, un RT n’a organisé aucune manifestation collective, il sera dissous par le Comité exécutif.

Les réseaux thématiques doivent tenir lors de chaque congrès une Assemblée Générale. À ce titre, il doit être prévu un temps spécifique pour la tenue de ces Assemblées générales lors de chaque congrès.

Article 10 — Socio-logos, la revue de l’association

L’Association française de sociologie, et son président ou sa présidente sont à l’origine d’une publication Socio-logos, publiée en Freemium, via la plateforme OpenEditions. À ce titre, un contrat est fixé tous les ans avec OpenEditions.

Le président ou la présidente de l’association en est le directeur ou la directrice de publication. Son rédacteur en chef ou sa rédactrice en cheffe, est élu·e au sein du comité exécutif, et fait partie du bureau du Comité exécutif.

L’ensemble des membres du Comité exécutif sont membres du comité de lecture et scientifique de la revue.

Article 11 — Instances disciplinaires

Afin de garantir le fonctionnement éthique de l’association, trois instances distinctes sont constituées. Leurs membres sont tenu·e·s à la plus stricte confidentialité.

a) Groupe « Éthique professionnelle »

Le groupe « Éthique professionnelle » est chargé de veiller à la conduite éthique des membres de son association. Il traite également des sollicitations des adhérent·e·s de l’association, des membres du Comité exécutif et du bureau.

Le groupe est composé des personnes volontaires au sein du Comité exécutif, auxquelles peuvent s’ajouter des adhérent·e·s de l’association sollicité·e·s par le Comité exécutif.

La composition du groupe, ainsi que les moyens pour le contacter, sont affichés sur le site internet de l’association.

Un·e de ses membres (faisant partie du comité exécutif) est désigné·e pour représenter le groupe au sein du bureau, et faire état de ses travaux. La composition du groupe, ainsi que les moyens pour le contacter, sont affichés sur le site internet de l’association.

b) Comité disciplinaire

Au sein de l’AFS, un comité disciplinaire est constitué. Il se compose de l’ensemble des membres du comité exécutif à l’exclusion des doctorant·e·s ou docteur·e·s sans poste.

Afin de prévenir tout conflit d’intérêt avéré ou potentiel, les membres du comité disciplinaire ne peuvent participer ni aux délibérations relatives à leurs parent·e·s ou allié·e·s jusqu’au troisième degré, ni à celles concernant un·e collègue affecté·e ou exerçant des fonctions au sein de l’établissement dans lequel elles/ils sont affecté·e·s, ou dans lequel elles/ils exercent ou ont exercé des fonctions depuis moins de deux ans, ni à celles concernant une situation qui les concerne.

Dans le cas d’une procédure disciplinaire, 3 membres de ce comité qui ne présentent pas de conflit d’intérêt en sortent pour composer un comité d’appel.

c) Comité d’appel

Le comité d’appel est composé de 3 membres du comité disciplinaire. Afin d’assurer son bon fonctionnement, il est recomposé de façon temporaire à l’occasion de chaque cas faisant l’objet d’une procédure disciplinaire, après vérification d’éventuels conflits d’intérêt.

Titre III : Dispositions disciplinaires

L’Association française de sociologie peut prononcer l’exclusion, temporaire ou définitive,  d’un·e de ses adhérent·e·s en cas de manquement au règlement intérieur. Cette décision peut être motivée notamment par le non-paiement des cotisations, un comportement fautif ou tout autre motif grave, tel que précisé ci-dessous. En tant que garante du bon déroulement de ses activités, elle peut également interdire l’accès à ses événements (notamment les événements organisés par les réseaux thématiques) à toute personne dont les propos et actes sont contraires au règlement intérieur.

Article 12 — Fautes

Sont considérés comme fautifs les manquements à l’éthique professionnelle, les faits de violences, les actes ou propos discriminatoires fondés notamment sur l’âge, la race, le sexe, l’origine nationale, la religion, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre, le handicap, l’état de santé, le statut socio-économique ou d’emploi (liste non-exhaustive).

Ils peuvent survenir dans tout contexte, y compris en dehors des activités directement organisées par l’association. Ils concernent tous les lieux de réunion, physiques et virtuels, ainsi que tous types d’échanges (par contact direct, téléphoniques, lettres, e-mail, etc.).

Article 13 — Instance à saisir en cas de faute

En cas de fait fautif, il convient de saisir le groupe « Éthique professionnelle » (présenté à l’article 11), d’un signalement.

Article 14 — Signalement et enquête préliminaire

Une fois saisi, le groupe « Éthique professionnelle » prend les mesures nécessaires en vue d’assurer la protection des membres victimes de faits fautifs et de mettre un terme à ces derniers.

L’enquête interne consiste à auditionner la personne plaignante, le cas échéant les témoins directs ou indirects des faits ainsi que la personne mise en cause et à recueillir l’ensemble des éléments pertinents permettant d’éclairer les actes signalés et leur contexte.

Si l’enquête établit les faits signalés, elle donne lieu à l’ouverture d’une procédure disciplinaire.

Article 15 — Mesures conservatoires

Afin de préserver la sécurité de potentielles victimes, la sérénité des conditions de travail des membres de l’AFS, la réputation de l’association ainsi que sa crédibilité scientifique, morale et éthique, des mesures conservatoires temporaires peuvent être mises en place dès lors qu’une enquête interne est en cours. Au titre de mesures conservatoires, le bureau de l’AFS peut suspendre temporairement la participation des membres mis·e·s en cause à toutes les activités de l’association, y compris à son congrès biennal.

Le non-respect de ces mesures conservatoires entraîne automatiquement l’exclusion définitive.

Article 16 — Procédure disciplinaire

Le comité disciplinaire de l’AFS (présenté à l’article 11) se réunit, prend connaissance des éléments de l’enquête et peut décider de l’exclusion temporaire ou définitive d’un membre ou refuser son adhésion. Cette décision est soumise à un vote à bulletin secret.

Article 17 — Notification de sanction et droit d’appel

Lorsqu’une sanction a été déterminée par le comité disciplinaire, le bureau en informe l’adhérent·e concerné·e  par courrier recommandé électronique avec accusé de réception.

À réception de ce courrier, la personne mise en cause dispose d’un délai d’un mois pour faire appel de cette décision. L’instance d’appel (présentée à l’article 11) se réunit et procède à un vote à bulletin secret.

Le résultat de cette délibération est notifié à l’intéressé·e par courrier recommandé électronique avec accusé de réception.

Titre IV : Dispositions diverses

Article 18 — Prises de position publiques

Aucun·e membre ne peut prendre publiquement position au nom de l’Association française de sociologie, sans l’autorisation du bureau de l’AFS (contact via le secrétariat de l’AFS : contact@afs-socio.fr).

Article 19 — Usages des locaux de l’association

Les locaux de l’Association française de sociologie (un bureau au 59 rue Pouchet, 75017 Paris) sont accessibles aux membres du Comité exécutif et au ou à la gestionnaire de l’Association française de sociologie.

L’accès des autres personnes est soumis à autorisation du bureau de l’Association française de sociologie (contact via le secrétariat de l’AFS : contact@afs-socio.fr).

Article 20 — Pratique des activités

Les activités de l’Association française de sociologie se déroulent sous la responsabilité des membres du Comité exécutif ou des bureaux des réseaux thématiques. Ils/elles sont seul·e·s autorisé·e·s à mettre fin à des activités s’ils ou elles estiment que les conditions de sécurité ne sont pas réunies.

Article 21 — Modification du règlement intérieur

Le règlement intérieur de l’association est établi chaque année par le Comité exécutif, conformément à l’article 6 des statuts.

À Paris, le 07/07/2025

 
Viviane Albenga viviane.albenga@univ-tours.fr Professeure à l’Université de Tours, je suis ancrée dans la sociologie du genre depuis ma thèse soutenue en 2009. J’ai travaillé cette approche au sein de la sociologie des pratiques culturelles et de la réception. Mes dernières recherches portent sur les appropriations des idées féministes par les étudiant·es, ainsi que sur les mobilisations relatives aux violences de genre à l’Université, avec une perspective transnationale France-Espagne-Argentine-Chili.  Au sein du CE, je participe au groupe Éthique et lutte contre les VSS, et à l’Observatoire des Atteintes aux Libertés Académiques
Sophie Bernard sophie.bernard@dauphine.psl.eu

Co-Présidente

Je suis professeure de Sociologie à l’Université Paris Dauphine-PSL et chercheuse à l’IRISSO (UMR CNRS INRAE 7170-1427). Mes recherches s’inscrivent en sociologie du travail et de l’emploi. Je travaille actuellement sur les questions environnementales au travail. J’ai auparavant été membre du RT25 « Travail, organisations, emploi ». Outre mes diverses activités dans le bureau, je participe aux groupes de travail « Congrès », « Socio-Logos » , « Observatoire de l’emploi en sociologie ».

Céline Bessière celine.bessiere@dauphine.psl.eu Je suis professeure de sociologie à l’Université Paris Dauphine-PSL et chercheuse à l’IRISSO. Je m’intéresse aux dimensions économiques et juridiques de la famille dans une perspective féministe matérialiste : transmissions patrimoniales, séparations conjugales, organisation des économies domestiques, division du travail entre conjoint·es, etc. Ma recherche actuelle porte sur le genre et l’accumulation du patrimoine en Europe
Marianne Blanchard marianne.blanchard@univ-tlse2.fr Je suis MCF à l’INSPE Toulouse Occitanie Pyrénées, où j’interviens dans la préparation du CAPES de SES, et chercheuse au CERTOP. Mes travaux portent sur l’enseignement supérieur, du point de vue des institutions et des trajectoires des étudiant·es – notamment vers les filières scientifiques -. Je m’intéresse également à la question de la transition écologique dans les programmes d’enseignement supérieur. Au sein du CE de l’AFS, je m’investirai dans l’organisation du prochain congrès ainsi que dans les relations avec les autres associations et dans le groupe de travail « écologie ».
Hugo Bréant breanthugo@gmail.com Après avoir travaillé comme enseignant-chercheur contractuel dans différents établissements universitaires (Universités Paris 1, Dauphine et Rouen, ENS, Ined, IUT d’Evreux…), je travaille désormais comme chargé d’études et de recherche hors de l’ESR : d’abord au pôle recherche de la direction de la Protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ), et maintenant à l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (INJEP). Je mène aujourd’hui des recherches sur les loisirs et le temps libre des jeunes et sur l’animation volontaire. Membre du RT-15 Jeunesse, j’ai intégré le comité exécutif de l’AFS en 2023 (au congrès de Lyon).
Auréline Cardoso aureline.cardoso@univ-tlse2.fr Post-doctorante en sociologie, élue depuis le congrès de 2025 au CE de l’AFS où je me consacrerai principalement au groupe « Éthique et lutte contre les VSS » et à la participation à la coordination des numéros de la revue Socio-Logos. J’ai soutenu ma thèse sur l’usure professionnelle dans les associations féministes en 2019, et depuis j’ai travaillé sur divers sujets (les femmes dans l’architecture, l’égalité filles-garçons dans la petite enfance, les professions de santé sexuelle. Associée au laboratoire du CERTOP (Toulouse) où j’ai réalisé ma thèse, je rejoins fin 2025 le LEIRIS à Montpellier dans le cadre d’un post-doctorat sur l’intervention sociale auprès des familles monoparentales
Antoine Dain antoine.dain@gmail.com

Co-responsable des relations avec les RT

Docteur en sociologie depuis septembre 2023 et ATER à Université Paris Cité depuis 2021, j’ai réalisé ma thèse au LEST, à Aix-en-Provence, sur le sujet des reconversions professionnelles de travailleur·euses très qualifié·es dans des métiers artisanaux. Au sein du CE de l’AFS, que j’ai rejoint en 2019, je suis principalement investi dans le groupe de travail consacré aux relations avec les RT. En parallèle, je suis également membre du bureau du RT 5 « Classes, inégalités, fragmentations ».

Alizée Delpierre alizee.delpierre@sciencespo.fr Je suis chargée de recherche CNRS rattachée au laboratoire Printemps (CNRS-UVSQ). Mes travaux sont à la croisée des sociologies du travail, des rapports de classe, de sexe et de race, de la sociologie économique, de la famille, et du droit. Je m’intéresse plus particulièrement à la confrontation sociale, aux rapports de domination et d’exploitation, que j’ai notamment appréhendés par la domesticité. J’ai rejoint l’AFS en juillet 2023 et m’investis plus spécifiquement dans les groupes de travail « Relations aux RT », « Éthique/Lutte contre les VSS » et « Formation à la recherche ».
Kevin Diter kevin.diter@univ-lille.fr

Co-trésorier

Je suis MCF en sociologie à l’Université de Lille, site Inspé de Douai. Mes travaux se situent à l’intersection de la sociologie de la socialisation, de la sociologie de l’enfance et de la sociologie des sentiments (de justice), dans une approche intersectionnelle mêlant genre, classe et âge. J’ai été membre du bureau du RT50 pendant 4 ans (2019-2023). Au CE, je suis co-trésorier (avec Marion Maudet) et participe au groupe de travail « Relation avec les RT ».

Habibatou Doumbia contact@afs-socio.fr

Secrétaire/gestionnaire

Je suis responsable de l’administration de l’AFS depuis 2009 et j’ai fait un doctorat sous la direction de la professeure Dan Ferrand-Bechmann. Je fais des missions ponctuelles à l’Unesco.

Charif Elalaoui charif.elalaoui@unicaen.fr Docteur en sociologie politique et chercheur au laboratoire Espaces et Sociétés (UMR, 6590, CNRS) & le Centre Jacques Berque. Mes travaux s’inscrivent à l’intersection de la sociologie des mobilisations, des rapports sociaux et de la géographie critique. Ils visent à comprendre les mobilisations collectives par le bas et les inégalités, notamment raciales, face aux défis écologiques, en France et au Maroc.
Marion Flécher flecher.marion.f@gmail.com

Co-responsable du groupe Éthique

Je suis maitresse de conférences en sociologie à l’Université Paris-Nanterre, IDHE.S (UMR CNRS 8533) et chercheuse associée au CEET (Centre d’études de l’emploi et du travail). Situées au croisement entre la sociologie du travail, du genre et du numérique, mes travaux étudient les transformations du capitalisme, des organisations et du travail à l’ère du numérique, au prisme des inégalités. Anciennement co-responsable du RT 25 « Travail, Emploi et organisation », j’ai rejoint le CE de l’AFS au congrès de Toulouse de 2025 et je suis désormais co-responsable du groupe de travail « Éthique / Lutte contre les violences sexistes et sexuelles ».

Emmanuelle Guittet emmanuelle.guittet@gmail.com

Co-responsable des relations avec les RT

Je suis maîtresse de conférences à l’Université Sorbonne Nouvelle et membre du Cerlis. Mes travaux s’inscrivent dans une sociologie de la culture et des loisirs, du numérique et du travail. Je m’intéresse au renouvellement des pratiques culturelles et de loisirs par les réseaux et plateformes socionumériques, à leurs usages sociaux, aux sociabilités qui les encadrent, aux modalités de leur transmission et de leur apprentissage et au réinvestissement professionnel dont elles peuvent faire l’objet. Au sein du CE de l’AFS, je participe aux groupes de travail « Relations avec les RT » et « Comité éthique ».

Romain Juston Morival romainjuston@gmail.com Maître de conférences à l’Université de Rouen et chercheur affilié au CEET. Mes recherches actuelles portent sur les politiques de prévention des risques en matière de santé au travail. Je suis membre de l’AFS depuis que je pratique la sociologie. D’abord membre du bureau du RT13 « Sociologie du droit et de la justice » pendant mes années de thèse, j’ai rejoint le bureau du RT 19 « Sociologie de la santé » pour un mandat de 4 ans en 2019, bureau dont j’ai assuré la co-coordination avec Christine Hamelin et Marie Le Clainche-Piel entre 2021 et 2023. C’est donc pour poursuivre mon investissement dans la vie collective de l’association que j’ai rejoint le CE. Mon expérience des RT m’a incité à participer à la coordination des relations entre le CE et les RT, mais je m’investi également dans l’observatoire de l’emploi en sociologie.
Antoine Larribeau antoine.larribeau@univ-paris13.fr Je suis doctorant au sein du laboratoire EXPERICE (Université Sorbonne Paris Nord). Mon travail de thèse porte sur la socialisation familiale, scolaire et professionnelle d’étudiant-es du supérieur dans des formations en développement informatique. Je m’intéresse tout particulièrement aux questions d’apprentissage et d’auto-formation en contexte numérique, ainsi qu’aux usages actuels des modèles de langage. Dans le CE, outre ma participation à l’organisation des, je participe principalement au groupe de travail « Site internet, réseaux sociaux et relations médias ».
Yong Li liyong76@outlook.com Né en Chine, docteur en sociologie et ingénieur d’études au Dysolab (Université de Rouen Normandie), j’ai consacré ma thèse à l’insertion professionnelle des diplômé.es chinois.es en France. Membre du bureau du RT2 « Migrations, altérité et internationalisation », je travaille aujourd’hui sur les expériences du racisme et des discriminations des personnes originaires d’Asie de l’Est et du Sud-Est, le rapport au politique des personnes minorisées, ainsi que les activités économiques des migrant.es sur les réseaux et les plateformes numériques. Au sein du CE de l’AFS, je m’investirai dans les groupes de travail « site internet/newsletter/relations aux médias » et « Socio-Logos
Efi Markou efi.markou@ined.fr Je suis ingénieure d’études au Service des enquêtes et des sondages de l’Ined, où je participe à la conception méthodologique, au montage et à la réalisation des enquêtes quantitatives menées par l’institut. J’ai en particulier collaboré à des enquêtes auprès des personnes sans domicile ; sur les violences et les rapports de genre ; ou, actuellement, sur les relations familiales et intergénérationnelles. Je suis membre du RT 20 Méthodes de l’AFS. En 2020, j’ai soutenu à l’EHESS une thèse en sociohistoire, étudiant la genèse, durant le premier XXe siècle, des premières politiques de décentralisation industrielle. Au sein du CE je participe en particulier aux groupes de travail sur les Archives de l’AFS, au groupe de coordination des RT et à l’Observatoire de l’emploi en sociologie
Marion Maudet marion.maudet@univ-lyon2.fr

Co-trésorière

Je suis maîtresse de conférences en sociologie à l’Université Lumière Lyon 2 et au Centre Max Weber. Je m’intéresse aux questions de genre, de sexualité et de religion, en cherchant à articuler différentes méthodes d’enquête. Je suis trésorière de l’AFS depuis 2021, membre des bureaux du RT28 « Recherches en sciences sociales de la sexualité » et RT43 « Sociologie et religions ». Je participe au groupe de travail Ethique/VSS.

Brice Molo bricemolo@yahoo.fr Docteur de l’EHESS et de l’Université de Yaoundé I. MCF à l’ICP (FASSED). Je travaille sur les risques, catastrophes et morts collectives au Cameroun. Au CE depuis 2023, j’y suis rattaché aux groupes de travail « Outremers », « observatoire de l’emploi » et à la revue Socio-Logos.
Maylis Nouvellon maylis.nouvellon@gmail.com

 

 

Audrey Parron audrey.parron-gretter@univ-tlse2.fr

Co-rédatrice en chef de Socio-Logos

Je suis maîtresse de conférences au Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l’université de Toulouse Jean Jaurès. Mes thèmes de recherche ont trait aux situations de handicap psychique et aux parcours d’accompagnement social et médico-social des enfants, adolescents et jeunes adultes. Je m’intéresse également aux recherches participatives et à l’effectivité du droit à la prise de décision des majeurs protégés. Concernant mon implication dans le CE de l’AFS, je suis investie dans l’organisation du prochain congrès qui se tiendra à Toulouse en 2025, et au sein du comité de rédaction de Socio-logos.

Myrtille Picaud myrtille.picaud@cnrs.fr Je suis chargée de recherches au CNRS (Cresppa-Csu) et je travaille d’un côté sur les intermédiaires culturels et les transformations des espaces musicaux, et de l’autre sur le déploiement du numérique dans les politiques de sécurité, particulièrement dans les grandes villes et lors de grands événements (JOP). A l’AFS, je participe au groupe pour le site internet, à celui sur la « Sociologie dans, depuis et sur les territoires dits d’Outre-mer » et au groupe « Éthique ».
Déborah Ridel deborah.ridel@univ-paris13.fr

Secrétaire générale

Maitresse de conférences en sociologie à l’Université Sorbonne Paris Nord et chercheuse à l’Institut de Recherches Interdisciplinaires sur les enjeux sociaux (UMR 8156), mes travaux portent sur les inégalités sociales de santé et le travail soignant à et en dehors de l’hôpital. Membre du RT 19 « Santé, médecine, maladie et handicap » depuis 2017, j’ai rejoint le CE de l’AFS en 2023 et le bureau en 2025. Outre mes activités dans le bureau en tant que secrétaire, je suis investie dans les groupes « Éthique et lutte contre les Violences Sexistes et Sexuelles » et « Observatoire des Atteintes aux Libertés Académiques »

Pauline Sabuco sabuco.pauline@gmail.com

Co-responsable du groupe éthique

Je suis doctorante au Laboratoire d’Économie et de Sociologie du Travail (LEST) à Aix-Marseille université. Mes travaux portent sur l’insertion professionnelle des jeunes sans diplôme, je suis depuis récemment membre du RT jeunesse. Membre du CE depuis 2019, je suis dans le Bureau de l’AFS depuis 2023 en tant que référente du groupe de travail « Ethique ».

Thomas Sigaud thomas.sigaud@univ-tours.fr

 

 

Marie Thiann-Bo Morel thiannbomarie@gmail.com

Co-rédactrice en chef de Socio-Logos

Je suis enseignante-chercheure en sociologie de l’environnement et de la santé à l’Université de La Réunion (UFR Santé, UMR Espace-Dev). Dans mes recherches, je croise une grille de lecture postcoloniale avec les théories de la justice environnementale sur le terrain réunionnais. Je suis membre du bureau du RT38 Sociologie de l’environnement et des risques et nouvellement élue, depuis 2021, au CE de l’AFS. Je participe aux groupes de travail Ethique-VSS et « Sociologie dans, depuis et sur les Outre-mer ».

Anne-Catherine Wagner anne-catherine.wagner@univ-paris1.fr Je suis professeure de sociologie en AES à l’université Paris 1 et rattachée au CESSP, Centre européen de sociologie et de science politique. Mes recherches portent sur les reconfigurations des classes sociales, les mobilités internationales, le travail dans les entreprises coopératives, l’orientation dans l’enseignement supérieur. J’ai rejoint le CE de l’AFS en 2025 et compte m’investir dans les groupes de travail « Observatoire de l’emploi en sociologie », « Formation à la recherche » et « Observatoire des libertés académiques » (OALA)
Laurent Willemez laurent.willemez@uvsq.fr

Co-Président

Je suis professeur de sociologie à l’UVSQ-Université Paris-Saclay et membre du laboratoire Printemps (UMR CNRS 8085), et son directeur jusqu’en juin 2024. Mes recherches s’inscrivent principalement dans la sociologie du droit et de la justice mais aussi dans la sociologie de l’engagement et du syndicalisme. Je travaille notamment sur les magistrat·es français·es ainsi que sur la manière dont le droit du travail est construit et utilisé dans le monde du travail. Par ailleurs, j’ai été entre 2011 et 2016 co-président de l’Associaton des sociologues enseignants du supérieur (ASES).

L’Association française de sociologie a été créée en 2002 : elle prenait la suite de la Société française de sociologie, dont Philippe Cibois a recueilli sur son site l’histoire depuis sa création en 1962 (ce texte, anonyme, était originellement hébergé sur le site de la Société française de sociologie, aujourd’hui disparu).

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Les textes renseignant la création de l’AFS ont également été mis en ligne sur le site personnel de Philippe Cibois : ils sont consultables ici.

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Depuis sa création, l’AFS a connu six président.e.s. Vous trouverez ici le récit de certains de leurs mandats, qu’ils et elles ont accepté de faire pour le site.

Prendre la sociologie au sérieux J’ai commencé mon mandat par un coup d’éclat, dont le fracas a marqué tout le
Affirmer la place de la sociologie française dans un monde multipolaire Satisfaisant enfin à la demande amicale de l’équipe actuelle
Philippe Cibois a réuni sur son site personnel différents documents relatifs à l'histoire de l'AFS, dans la rubrique "Matériaux pour
Mes deux mandats passés à la présidence de l’AFS ont été une expérience incomparable. Pourtant, j’aurais matière à comparaison tant
Pour des raisons indépendantes de ma volonté, je n’ai pas suivi en direct les premiers pas de l’AFS à Cachan,
Comme il s’agit de retracer un processus non pas contemporain, mais « historique » – dix-huit ans se sont écoulés depuis l’année 2001

En tant qu’association professionnelle, l’Association française de sociologie (AFS) s’engage à créer un environnement sûr et accueillant pour tou·tes les participant·es aux évènements qu’elle organise, notamment ses congrès. Dans cette optique, le comité exécutif de l’AFS a formé un groupe de travail en février 2020 pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles (VSS) et promouvoir l’éthique professionnelle lors de ces évènements. En effet, nous avons été informé·es de plusieurs cas de violences sexuelles et sexistes survenus lors de nos congrès ou dans ses marges. Nous soutenons sans réserve les collègues qui ont été victimes de ces actes. Nous rappelons que de telles violences représentent une violation grave des normes professionnelles, universitaires et éthiques, et contribuent à perpétuer les rapports de domination de genre.

Lors des évènements organisés par l’AFS, et notamment lors des congrès, nous demandons à tou·tes nos adhérent·es de s’engager à ne pas tenir de propos ou commettre des actes de violence à caractère sexiste ou sexuel, ou toutes autres formes de discrimination. Cela concerne les espaces tant physiques que virtuels, y compris les événements annexes tels que les déjeuners et les soirées, ainsi que les rencontres officielles et non officielles. Ces règles s’appliquent à tous les types d’interaction, que ce soit en personne, lors de réunions virtuelles ou dans les échanges de courriels.

Pour le congrès de Toulouse en juillet 2025, nous mettons en place un dispositif de soutien et d’accompagnement, comprenant notamment des personnes-ressources identifiables pour aider les participant·es en cas de besoin, des informations pratiques fournies dans le programme et par le biais d’affichages sur place, et un numéro de téléphone joignable pendant toute la durée du congrès pour signaler les cas de violence sexiste ou sexuelle. Les détails de ce dispositif seront donnés au début du congrès.

Nous encourageons par ailleurs tou·tes les participant·es au congrès à signaler tout cas de violence sexiste ou sexuelle, directement aux personnes-ressources, par le biais du numéro de téléphone (pendant le congrès) et/ou en écrivant à l’adresse email vss.afs@gmail.com (pendant ou après le congrès). Les membres du groupe VSS peuvent également être contacté·es avant ou après le congrès par courriel à cette même adresse.

Nous sommes déterminé·es à maintenir un environnement de congrès sûr et accueillant pour tou·tes les participant·es. Nous continuerons aussi à travailler pour prévenir et éliminer les violences sexistes et sexuelles dans notre communauté professionnelle.

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