RT27

AAC RT 27 (Sociologie des intellectuels et de l'expertise : savoirs et pouvoirs) - AFS 2025 Toulouse

RT 27 – Sociologie des intellectuel⸱les et de l'expertise : environnement(s) et inégalités Appel à communications pour le 11e congrès de l’AFS (8-11 juillet 2025) à Toulouse   Dans le cadre du congrès 2025, le RT 27 "sociologie des intellectuel·les et de l'expertise" prévoit d’organiser deux sessions blanches et cinq sessions thématiques. Les sessions blanches accueilleront des communications s’inscrivant dans un ou plusieurs axes du réseau : - l’étude des professions intellectuelles - l’analyse des formes d’engagement de leurs membres (critique sociale, expertise, prophétisme etc.) - la sociologie de l’expertise et de ses usages - la sociologie historique des idées politiques et des savoirs - les études de circulation et de réception - la réflexion sur les modèles et techniques d’enquête propres à la sociologie des intellectuels. (pour plus de détails sur ces axes, cliquez ici)   Les cinq sessions thématiques seront en lien avec le thème général du congrès. Des sessions particulières seront ainsi consacrées  à la place des intellectuel·les dans les organisations (1), à la sociologie des idées et des intellectuel·les de l'environnement (2), à l'expertise d'État sur l'environnement (3), aux rapports d'inégalités entre "Nord global" et "Sud global" dans les champs intellectuels (4), et à l'expertise artistique et à ses intermédiaires (5). Cet appel est ouvert à diverses approches et perspectives, des approches en termes de champ à la sociologie pragmatique, les études sociales des sciences et des techniques (STS), l’économie politique internationale, les études sur la gouvernance, l’expertise et les politiques publiques, l’étude des policy transfers… Les approches historiques et comparatives sont les bienvenues tant qu’elles s’appuient sur un terrain empirique.  
  1. Les intellectuel·les dans les organisations
La sociologie des intellectuel·les a su mobiliser et a parfois contribué à développer un ensemble de concepts (champs, réseaux, mondes sociaux etc.) et de méthodes (analyse de correspondance et classification, sociogrammes, prosopographie etc.) destinés à saisir les intellectuels dans leur environnement. Parmi l’ensemble des concepts classiques de la sociologie, celui d’organisation et les problématiques qui lui sont couramment associées n’ont que plus rarement été utilisés pour appréhender les intellectuel·les, rendre compte de leurs activités, et étudier les inégalités qui structurent leurs relations. Si les intellectuel·les se conçoivent volontiers comme libres, sans attache ni racine, leurs pratiques (notamment en matière d’écriture et d’engagement) sont pourtant le plus souvent inséparables de leur participation à des structures susceptibles d’être appréhendées comme des organisations dans la mesure où elles coordonnent des agents et des activités en vertu de mécanismes distincts de (ou en tous les cas irréductibles à) ceux qui régissent la concurrence et la formation d’une offre et d’une demande sur un marché (au sens restreint ou élargi). Les structures académiques (universités, centres de recherche, grandes écoles etc.), les partis et organisations politiques (syndicats, think-tanks, clubs etc.), les organisations internationales, structures bureaucratiques (cabinets, organismes d’études ministériels etc.), revues, musées, maisons d’édition, organisations religieuses etc., toutes ces structures auxquelles des intellectuels prennent couramment part peuvent en effet, et selon des modalités chaque fois spécifiques, être appréhendées sous l’angle de leurs règles de fonctionnement explicites ou implicites, organigrammes, hiérarchies (notamment en matière décisionnelle), routines de travail, distribution des ressources et de l’information, modalités de recrutement, de rémunération et manières d’y faire carrière etc.   C’est ce à quoi invite cet axe, que les organisations considérées aient une visée principalement culturelle (comme dans le cas des universités ou des maisons d’édition par exemple) ou non, que les intellectuels y soient majoritaires ou au contraires isolés, que leur participation à celles-ci les fassent vivre ou se fasse à titre gratuit, qu’elle soit continue ou occasionnelle etc. Les intervenant·es sont invité·es à réfléchir aux relations entre intellectuel·les et organisations à partir d’études de cas. Les communication pourront notamment porter leur attention sur les contraintes que les organisations considérées font peser sur les intellectuel·les qui en sont membres, et sur la manière dont ces logiques organisationnelles s’articulent avec les logiques propres au champ intellectuel, par exemple au niveau de la formation des prises de position. Il est rare qu’une organisation donnée s’identifie avec une position précise au sein d’un champ intellectuel, et peuvent fréquemment cohabiter au sein d’une organisation comme un parti politique, ou un mouvement social des intellectuels dont le volume et le type de reconnaissance accumulés varient fortement. On pourra observer comment et dans quelle mesure les oppositions et rapports de pouvoir au sein du champ intellectuel se font sentir dans l’organisation. De plus, au sein des organisations, les intellectuel·les sont souvent conduits à interagir avec des agents issus d’autres espaces sociaux (champs bureaucratique, économique, politique ou religieux). Les organisations pourront être utilisées comme un observatoire de ces interactions entre les intellectuel·les et d’autres types d’agents, des ressources qu’ils apportent et de la valeur relative de leurs capitaux dans ce contexte etc. Enfin, les communications pourront s’intéresser aux moyens mis en œuvre par les intellectuel·les pour peser sur les prises de positions des organisations. Des contributions décrivant, notamment à partir du dépouillement d’archives ou d’enquêtes ethnographiques, l’activité d’intellectuel·les dans des organisations seront tout particulièrement appréciées. De même pour les travaux comparatifs sur la place laissée aux intellectuel·les dans les organisations.  
  1. Sociologie des idées et des intellectuels de l’environnement
L’histoire de la pensée politique s’est récemment saisie de l’environnement pour interroger la constitution de la nature en objet politique et son rapport aux idées politiques modernes. La production, la circulation et la politisation des pensées écologiques contemporaines restent pour autant encore peu étudiées au moyen des outils spécifiques de la sociologie des idées et des intellectuel·les. Loin de s’imposer spontanément ou mécaniquement sous l’effet de la crise climatique, l’environnement n’émerge comme principe de vision du monde et comme catégorie d’intervention politique qu’en raison d’un travail symbolique entrepris au sein d’espaces sociaux, d’institutions, et par des agents dont on peut interroger l’action, les ressources, les conditions du succès ou de l’échec. Sans s’y limiter, les communications proposées pourraient ainsi répondre à trois ensembles de questionnements, non exclusifs l’un de l’autre.  
  1. a) Les espaces intellectuel·les de l’environnement :
Par rapport à d'autres aspects de la vie intellectuelle de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle (percée mondiale du néolibéralisme, essors et déclins de la pensée marxiste, émergence de nouvelles avant-gardes féministes et post-coloniales etc.), les intellectuel·les de l’écologie ont, en comparaison, fait l’objet d’une attention moins soutenue. Sans exclusive d’époque ou de lieu, des communications pourraient ainsi porter sur les espaces intellectuels de l’écologie (auteurs, revues, maisons d’éditions, centres de recherche, organisations politiques et militantes) et à ses espaces connexes (les champs politique et scientifique). Elles pourraient aussi s’intéresser, pour le cas des partis politiques Verts, au moment de la fondation du parti politique et aux diverses tentatives qui ont permis de (ou ont échoué à) mettre en politique des idées écologistes depuis les années 1970. L'analyse transnationale de la structuration des intellectuel·les de l'environnement pourrait également être analysée (du GIEC à NégaWatt, ou au Shift Project etc.)  
  1. b) La pensée écologique entre idéologie dominante et avant-garde 
L’environnement s’est davantage imposé comme un espace concurrentiel de production idéologique que comme une catégorie hégémonique et consensuelle, ainsi qu’en témoignent, par exemple, les luttes définitionnelles - académiques et militantes - autour de l’écologie politique. Des communications pourraient en ce sens porter sur les conditions du "succès" ou de l’"échec" des différentes branches de la pensée écologique et des notions qu’elle invente ou réinvente, comme les théories du développement et de la croissance verte, centrales dans la constitution de l’agenda climatique des organisations internationales et des gouvernements du Nord. Il est possible, à l’autre bout du spectre idéologique, de se pencher sur les pensées écologiques d’avant-garde comme la décroissance, l’anti-spécisme, l’écoféminisme ou la collapsologie, et d’interroger leur maintien dans une marginalité durable, ou à l’inverse, les conditions de leur légitimation intellectuelle et politique. Les communications pourraient en ce sens prendre pour objet les savoirs autour des "bien communs" et des inégalités qui séparent les territoires - par exemple concernant l'eau. Elles pourraient enfin s'intéresser au cas spécifique de la tradition socialiste, qui tend à se renouveler en s’hybridant à des questions écologiques, comme le montre le courant de l’ "éco-socialisme" où la "fin du mois" se trouve liée à la "fin du monde".   3.Expertise d'État, expertise économique et environnement Cet axe propose de réfléchir aux évolutions de la définition experte du problème environnemental. Les communications pourront d’abord s’interroger sur les conditions de production des différents types de savoirs mobilisés pour construire l’environnement comme une grandeur économique, ainsi qu’aux moyens de faire valoir ces savoirs dans le champ politique. Elles pourront porter sur la science économique au sens large (économie politique internationale, finance verte, géographie, agro-économie, développement, etc.), mais aussi prendre en compte les acteurs non académiques (entreprises, associations…). On pourra également s’intéresser aux registres mobilisés (prophétique, expert etc.), aux ressources rendant possible les interventions au-delà des espaces académiques et intellectuels et aux jeux hiérarchiques entre les savoirs – par exemple entre science économique et d’autres sciences. L’attention pourra aussi porter sur les chaînes de médiation qui relaient, traduisent et hiérarchisent l’expertise économique sur l’environnement dans les médias, au sein des institutions et des organisations politiques, associatives ou militantes. Les réseaux d’experts réunis autour de l’environnement, ainsi que les déplacements ou formes de politisation qu’ils mettent en œuvre pourront également faire l’objet de propositions. Les communications pourront enfin réfléchir aux échelles, espaces, niveaux et temporalités où interviennent les expertises pour construire les problèmes environnementaux.   Trois sous-axes pourront structurer les discussions :
  1. a) L'État producteur d’expertise
Le premier sous-axe portera sur les jeux d’échelles et sur la production de savoirs par l’État : comment circulent les connaissances et les professionnels entre les arènes locales (mobilisations d’associations, contre-expertises citoyennes…), nationales (OFCE, Commissariat au Plan, Ademe…), et internationales (UE, OCDE, Banque Mondiale…) ? Comment les institutions publiques et leurs acteurs dans leur diversité mobilisent-ils les travaux scientifiques pour la réorientation de programmes d’État ? Quelles inégalités peut-on repérer entre ces espaces et ces acteur·ices ? Comment des modèles de production et de diffusion des savoirs environnementaux (comme des think tanks ou des cabinets de conseil privés par exemple) circulent-ils entre différentes zones géographiques ? Quel est le rôle des intermédiaires politiques dans ces configurations d’expertise sur l’environnement ?  
  1. b) Instruments de l’action publique environnementale 
Le deuxième sous-axe s'intéressera plus précisément aux instruments d’action publique mobilisés dans les politiques publiques environnementales : quels types  d'instruments sont mobilisés (la production de cartes, par exemple, qui a largement participé à l'émergence et à la consolidation de l'Etat-nation) ? Que rendent-ils visible ou au contraire difficile à penser ? Sont-ils produits par des économistes, ou au contraire par d’autres types d’experts (cartographes, naturalistes, militaires, médecins...) ? Comment ces politiques sont-elles évaluées (la création et la comparaison d’indicateurs par exemple, et lesquels : dette écologique, investissements "verts", biocapacités, empreinte carbone...) ? Quels moyens de régulation (taxes, quotas, normes…) sont privilégiés dans ces politiques ? Comment les instruments économiques sur l’environnement s’articulent-ils avec d’autres formes d’action (lutte contre la pauvreté, développement, projet d’urbanisation et d’aménagement des territoires) ? Peut-on parler de l’émergence des instruments d’action supra-nationale dans le domaine environnemental ? Les communications portant sur la genèse, les usages, et les circulations de ces indicateurs seront bien accueillies, ainsi que celles portant sur l'engendrement des inégalités de connaissances qui, à termes, peuvent produire des politiques publiques inégalitaires.  
  1. c) Savoirs sur l’environnement : contestations et évolutions
Le troisième sous-axe abordera les évolutions et la remise en question de l’expertise économique suite à l’intensification du débat public et scientifique sur la problématique environnementale. Comment ces déplacements transforment-ils les savoirs et leurs usages ? Et réciproquement, peut-on repérer une évolution de la prise en compte de l’environnement dans les savoirs économiques (futurologie, scénarios d'adaptation climatique, finance verte, etc.) ? Quelles résistances, ou alternatives (soutenabilité, décroissance) à des approches économiques classiques (externalités négatives, théories financières et transition écologique, biens communs, etc.) l’évolution de la thématique environnementale suscite-t-elle ?  
  1. "Sud global" et environnements
Le rapport d’inégalités entre le "Nord global" et le "Sud global" est considéré comme un facteur déterminant des flux internationaux et transnationaux, tant dans la littérature sur les migrations que dans les études sur la circulation des biens symboliques. Dans la perspective de la sociologie des intellectuel·les et de l’expertise, cette session s’intéresse aux mobilités et aux circulations en prenant pour objet les enjeux environnementaux. Pour cela, diverses approches peuvent être envisagées. Les communications pourront tout d’abord porter sur la place qu’occupe le rapport aux sciences de l’environnement dans les interactions entre savoirs et technologies de pouvoir. Elles pourront questionner la manière dont la perspective postcoloniale permet de nourrir les études sur le rôle des expert·es du "Nord global" dans l’émergence de la gouvernance environnementale, ainsi que des politiques de conservation des pays anciennement colonisés. Les communications pourront accorder une attention privilégiée aux trajectoires d’expert·es et à leurs modalités d’internationalisation. On pourra s’intéresser au rôle des ONGs, des think-tanks ou des organisations internationales dans ces circulations et dans les transferts d’expertise. Pourront également être interrogés les rapports de chercheur·es aux environnements qu’ils et elles étudient. Ces questionnements gagneraient à être approfondis dans le cadre des réflexions sur les rapports inégalitaires Nord-Sud en recherche. À ce titre, les questionnements autour de "l’extractivisme scientifique", appréhendé à la fois comme une pratique d’extraction de ressources intellectuelles et matérielles, et comme un cadre analytique des mobilisations contre ces pratiques, représente un champ de réflexion fécond, avec lequel nous souhaiterions discuter. Dans cette optique, les communications pourront s’intéresser aux relations établies entre les champs académiques concernés, ainsi qu'aux diverses modalités de production et de réception des travaux scientifiques. Enfin, la question de la décarbonisation de la recherche, en lien avec les enjeux de mobilité internationale, résonne avec des préoccupations structurelles concernant les inégalités entre chercheur·es. Si l’internationalisation reste un impératif de carrière dans de nombreuses disciplines, elle exacerbe les disparités dans l’accès aux ressources et pose la question des tensions entre les contraintes écologiques et les impératifs professionnels ainsi que la marge de négociations dont disposent les acteur·ices de la recherche eu égards leurs propres convictions. Ces dynamiques s’inscrivent dans une réflexion plus large sur les circulations des savoirs, les carrières des intellectuel·les, et les logiques de domination et de rétribution au sein des champs académiques.  
  1. Environnements et mobilités dans les stratégies des champs artistique et culturel
Le RT propose enfin d’appréhender les espaces, à la fois sociaux et géographiques, au sein desquels artistes et intermédiaires évoluent. Les communications pourront d'abord examiner les circulations des artistes. Du « Grand Tour » effectué dès le XVIIIe siècle en Italie pour se former aux contacts des modèles antiques et modernes, aux exils – parfois stratégiques – des artistes originaires des pays considérés comme périphériques dans le système mondialisé de l’art contemporain, ou aux trajectoires transnationales de formation auxquels se soumettent les artistes, il s’agira d’interroger la manière dont ces mobilités s’inscrivent dans des espaces structurés et hiérarchisés, et s’intègrent à des stratégies de formation et/ou de professionnalisation artistique permettant d’acquérir compétences et ressources, y compris symboliques. Un deuxième sous-axe pourra s’intéresser plus spécifiquement aux institutions : Académies, expositions ou encore revues – dans les espaces européens ou extra-européens – sont inégalement dotées économiquement, et occupent des positions différentes dans les champs artistiques nationaux et dans le champ mondial de l’art. Les communications pourront porter sur la socio-histoire des institutions artistiques et les circulations de modèles comme celui du musée du Louvre, de l’Académie, des foires ou des Salons. Les propositions de communication portant sur les stratégies de placement – par exemple l’observation des stratégies de positionnement physique dans les espaces d’exposition (galeries, musées, foires, Salons, etc.) – seront également valorisées. Enfin, les communications pourront s’intéresser aux intermédiaires – programmateur·ices, commissaires d’expositions, galeristes, producteur·ices, critiques, conservateur·rices mais aussi historien·nes d’art, etc. Il s’agira d’interroger la manière dont ces intermédiaires exploitent une connaissance fine de leur environnement professionnel, à l’instar des programmateur·ices musicaux·les s’appuyant, pour discriminer parmi une offre pléthorique, sur des réseaux spatialisés, ou, à l’inverse, examiner à nouveaux frais leur contribution à la définition de mouvements artistiques, vus ensuite comme cohérents. Les études de l’intégration, ou au contraire de la mise à distance, des discours d’expertise dans les espaces de monstration de l’art – qu’on pense à ce titre aux polémiques qui ont par exemple entouré la naissance des musées d’Orsay ou du Quai Branly – seront également les bienvenues. Ces trois ensembles de propositions ne sont nullement exclusifs. Toutes les communications portant sur les usages sociaux de l’expertise artistique, sans distinction des périodes étudiées, seront considérées.        
  • Dépôt des propositions sur le site de l'AFS :17 janvier 2025https://afs-socio.fr/rt/rt27/
  • Format des propositions: 5000 signes au maximum
  • Retours aux auteurices : mi-février 2025.
    Informations générales de l’AFS Pour participer au Congrès, il faudra adhérer à l’AFS et s’acquitter de droits d’inscription. Lors du précédent Congrès de 2023, l’adhésion s’élevait à 41€ pour les non-titulaires et 103€ pour les titulaires ; l’inscription au Congrès à 61€ pour les non-titulaires et 152€ pour les titulaires. Les tarifs pour le Congrès de Toulouse seront légèrement plus élevés (inflation). Les collègues non-titulaires qui ne peuvent être financé.es par leur laboratoire pourront, sur présentation de dossier, être exonéré.es des droits d’inscription et bénéficier d’une aide pour le transport et le logement. La procédure pour la demande d’exonération des droits d’inscription sera précisée plus tard. L’accès au Congrès se veut le plus inclusif possible : * Des dispositifs de lutte contre les violences sexistes et sexuelles seront mis en place. * Si vous avez besoin de services d’accompagnement en raison d’une situation de handicap, vous pourrez le signaler dans le cas où votre communication est retenue. Le comité d’organisation mettra tout en œuvre pour essayer de répondre à vos demandes. * Si vous avez besoin de services de crèche pendant le Congrès vous pourrez le signaler au moment de l’inscription. Le comité local essayera de proposer un mode de garde.
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