Dans quelle mesure l’articulation des temps sociaux est-elle bousculée par les reconfigurations spatiales contemporaines ? Prenant à bras-le-corps le thème choisi par l’Association française de sociologie pour ce congrès, l’appel du RT48 cherche à saisir comment les manières d’ajuster les différentes sphères d’activité peuvent être saisies à l’aune de leurs espaces de déploiement. Soulevant des problèmes ayant trait à la sociologie du travail, de l’emploi, de la famille, des inégalités, mais aussi de l’environnement, du numérique, de la politique et des relations professionnelles, les questions posées dans cet appel cherchent à cartographier les évolutions contemporaines de l’articulation des temps sociaux.
Un premier ensemble d’axes (I) s’intéresse aux reconfigurations des espaces-temps de l’articulation des temps sociaux : quels sont ses territoires, mais aussi ses temporalités ? Comment les normes environnementales reconfigurent-elles le travail domestique ? Et comment les préoccupations environnementales sont-elles au cœur d’un nouveau sens au travail ? Un fil rouge à ces questions est celui des rapports sociaux et des inégalités au sein des pratiques d’articulation.
Ensuite, il s’agit de saisir comment les pratiques d’articulation des temps sociaux se trouvent renégociées (II). Comment l’articulation est-elle pratiquée par les personnes engagées dans une démarche militante environnementale, politique ou syndicale ? Plus largement, quelles négociations de l’articulation des temps sociaux peut-on analyser dans les mondes professionnels, notamment par les acteurs syndicaux et patronaux ?
Enfin, l’appel à communication propose de s’intéresser à des questions classiques de la sociologie de l’articulation des temps sociaux, ainsi qu’à ses nouveaux enjeux (III). Comment les normes de l’articulation des temps sociaux se reconfigurent-elles ? Et comment les espaces numériques bousculent-ils ces questionnements ?
I. Les reconfigurations spatiales et environnementales de l’articulation des temps sociaux
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Axe 1. Temporalités et territoires
Cet axe propose d’étudier la manière dont les
contraintes territoriales structurent les organisations quotidiennes et le rapport au temps. Qu’on habite un village enclavé, en banlieue d’un centre urbain, ou au cœur d’une mégapole connectée, les lieux de vie influencent largement les alternatives possibles pour articuler les temps dédiés à la famille, l’emploi, les loisirs ou encore la santé. Plus particulièrement, l’accès et la proximité des infrastructures du quotidien (transports en commun, commerces, services publics, établissements de santé, écoles, services de garde, etc.) apparaissent comme déterminants dans les rythmes de vie. Comment les emplois du temps varient-ils selon les territoires, et notamment les infrastructures matérielles qui les caractérisent ? Les propositions pourront s’intéresser, entre autres, aux inégalités spatiales dans les perspectives d’articulation des temps.
Une déclinaison de cette question pourrait concerner l’étude des critères de sélection des espaces de vie par les personnes selon une perspective d’articulation des temps, en fonction de leur position dans les différents rapports sociaux et de leurs parcours de vie. Quels critères sont pris en compte par les individus dans leurs choix résidentiels, en fonction de la dimension temporelle qu’implique la localisation de leur logement ? Ces choix sont-ils marqués par des différences selon l’appartenance sociale des individus à différents groupes et négociés au sein des familles ?
En outre, face aux difficultés croissantes d’articulation des temps sociaux, des théories largement débattues et médiatisées avancent l’idée d’une « accélération » du temps. Si le sentiment d’être « pressé par le temps » est avant tout déclaré par les cadres et professions intellectuelles supérieures, ils et elles sont aussi plus à même de chercher à, et disposer des ressources nécessaires pour « ralentir » le temps, en changeant d’environnement. Avoir accès à des espaces verts, s’isoler dans une résidence secondaire dans ou proche de la nature, s’occuper de son jardin, peuvent être autant de conditions nécessaires pour « prendre le temps », tandis qu’un mode de vie plus lent et centré sur la nature devient un signe de distinction sociale, caractéristique d’un « éco-habitus ». Pour autant, l’intensification des rythmes de travail dans l’ensemble des secteurs d’activité tend à exclure de ce ralentissement les travailleurs et travailleuses qui ne disposent pas des ressources pour, d’une part, exercer leur activité depuis un lieu isolé, et d’autres part, interrompre leur activité pour « se mettre au vert ». Comment le rapport au temps des individus peut-il évoluer en fonction de leur environnement – et pour qui ? Les propositions pourront s’intéresser aux
socialisations temporelles différenciées selon l’environnement (quotidien ou plus ponctuel) des individus et leurs possibilités d’en changer.
Les propositions pourront enfin s’interroger sur la construction des politiques publiques territoriales et leurs effets sur l’articulation des temps sociaux. Quelles logiques structurent les politiques publiques, par exemple de transports, pour permettre l’articulation des temps sociaux ? Ou, au contraire, en quoi l’articulation des temps peut-elle constituer un impensé des politiques territoriales ?
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Axe 2. Organisations, partages et négociations au sein des familles autour de l'écologie
Session croisée : RT33 Sociologie de la famille et de la vie privée et RT48 Articulation des temps sociaux
(proposition à déposer directement sur l'appel croisé)
Éviter de prendre la voiture ou l’avion, réduire (ou arrêter) la consommation de viande ou favoriser le bio, éviter de jeter des produits en favorisant leurs alternatives « lavables » ou « réutilisables »... Adopter des pratiques « écologiques », au sens de plus soucieuses de l’environnement, moins énergivores, moins nocives ou moins polluantes, est devenue une injonction de plus en plus forte dans la sphère domestique, qui touche aussi les normes de bonnes parentalités. Certaines de ces pratiques socialement valorisées peuvent cependant être particulièrement coûteuses temporellement et financièrement, quand d’autres sont adoptées par contrainte, pour des raisons économiques.
Dans tous les cas, adopter des pratiques écologiques ou « alternatives » agit sur le quotidien des familles. La réduction des déchets, par exemple, peut nécessiter une réorganisation des habitudes de consommation : tri sélectif, achats en vrac, compostage entre autres. La gestion du temps joue un rôle important dans l’adoption de ces pratiques au sein des foyers, révélant ainsi les contraintes et les inégalités sociales et de genre. Ces pratiques demandent une implication collective, pouvant générer des tensions dans les relations familiales et conjugales, notamment si tous les membres de l’entourage ne partagent pas les mêmes perspectives sur ces questions. Elles peuvent alors susciter des négociations, non seulement entre conjoints, mais aussi entre générations (enfants, parents, grands-parents, ou cercle familial plus large).
Comment les considérations écologiques imprègnent-elles les organisations familiales actuelles, et quel est le temps nécessaire à leur mise en place ? Qui les porte au sein des foyers, et pour quelles raisons ? Comment sont-elles motivées et négociées entre les différents membres de la famille, et comment ces pratiques évoluent-elles et se transforment-elles en conséquence ? Comment s'inscrivent-elles dans une logique de transmission, de reproduction ou d'opposition aux « traditions familiales » ? Finalement, peut-on parler de « charge mentale écologique », et comment se répartit-elle au sein des familles ? Sont également bienvenues les communications examinant comment les caractéristiques socio-économiques, les contextes géographiques et les politiques locales affectent l'adoption des pratiques écologiques au sein des familles.
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Axe 3. Des articulations en quête de « sens » professionnel : quelles préoccupations environnementales ?
Les préoccupations environnementales et écologiques peuvent amener à renouveler les interrogations quant à l’articulation des temps sociaux, invitant à repenser les organisations quotidiennes ou les parcours de vie pour les accorder avec ces préoccupations et les inégalités qui s’y nichent.
Les considérations environnementales peuvent faire partie des éléments qui amènent à questionner le sens que les individus donnent à leur travail. Comment le métier exercé et les activités associées peuvent-ils s’accorder avec les valeurs des individus ? Quels sont les ajustements qui peuvent être apportés/opérés ?
Cet axe se propose d’accueillir les communications s’intéressant aux changements et transformations professionnelles qui sont le fruit d’une réorganisation ou de questionnements autour de l’articulation des temps sociaux pour les accorder à des considérations environnementales. Ces changements peuvent être voulus et initiés par les individus. Cependant, ils peuvent aussi être subis et advenir suite à des changements organisationnels imposés par la hiérarchie ou suite à un licenciement. Ces reconfigurations peuvent amener à repenser l’articulation des temps sociaux en tenant compte des enjeux et préoccupations environnementales et climatiques.
Les communications pourront s’interroger sur les reconversions professionnelles dans le but d’exercer un travail plus en accord avec les préoccupations environnementales ou climatiques. Sans aller jusqu’à des
exit, ces arrangements peuvent passer aussi par des aménagements dans le travail et son organisation : recours au télétravail pour limiter les déplacements et la pollution qu’ils engendrent, limitation de déplacements professionnels ou encore à une échelle plus micro-organisationnelle privilégier les interactions directes plutôt que l’envoi de mails. Comment la prise en compte de ces préoccupations environnementales reconfigure-t-elle les formes d’articulation de temps sociaux préexistantes ?
II. Articulation des temps sociaux : militantismes et relations professionnelles
- Axe 4. Engagements environnementaux, syndicaux et partisans : quelle articulation des temps sociaux des militant·es ?
Session croisée : RT18 Relations professionnelles, RT34 Sociologie politique et RT48 Articulation des temps sociaux
(proposition à déposer directement sur l'appel croisé)
L’engagement militant suppose de disposer de ressources. Parmi elles figure le temps qui peut être dédié à la défense d’une cause. Toutefois, on le sait, les ressources temporelles sont inégalement distribuées socialement. Par exemple, la charge du travail domestique repose essentiellement sur les femmes ; nombre de salarié·es d’exécution disposent d’une faible autonomie dans l’organisation de leur temps de travail ; beaucoup de jeunes actif·ves rencontrent des mobilités professionnelles subies ou d’importantes contraintes résidentielles face aux difficultés accrues d’accès au logement. Cette disponibilité militante est à appréhender également de manière diachronique, au regard de ses évolutions le long du parcours de vie ou professionnel. Face à ces situations, les positions des organisations militantes sont diverses. Si certaines font avec les contraintes temporelles de leurs membres voire cherchent à les amoindrir, d’autres encouragent un dolorisme militant qui valorise les sacrifices personnels octroyés à la cause. Inversement, les engagements environnementaux vont fréquemment de pair avec un impératif de mise en cohérence des sphères de vie. Aussi ces engagements sont-ils susceptibles de renforcer, en retour, des injonctions à écologiser ses déplacements, consommations, loisirs, etc. Autant de pratiques dont les implications organisationnelles et temporelles sont potentiellement, là encore, inégalement coûteuses selon les individus et groupes sociaux. Afin de mieux comprendre ces diverses situations, cette session croisée propose de s’intéresser aux manières dont l’engagement militant s’articule aux autres temps sociaux, et à leurs effets réciproques : effets des autres temps sociaux sur le militantisme, et effets du militantisme sur les autres temps sociaux.
Privilégiant (mais pas exclusivement) les enquêtes menées auprès de militant·es qui portent les enjeux environnementaux dans les partis politiques, les syndicats ou des organisations spécifiquement dédiées à cette cause, les communications proposées s’intéresseront aux manières dont ces personnes, prises temporellement dans les causes qui sont les leurs, réarrangent leur vie sociale, professionnelle, familiale et domestique. Quels renoncements et quelles priorisations sont au cœur de ces engagements militants ? Quelles négociations peut-on analyser, du point de vue notamment du travail domestique ? Comment ces questions sont-elles anticipées (ou pas) par les organisations militantes ? Comment varient-elles selon les caractéristiques des miliant·es, à savoir leur genre, leur classe, leur âge, leur race et leur éventuel handicap ? Si ce militantisme peut être un engagement professionnel, comment déborde-t-il ou,
a contrario, est-il contenu ?
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Axe 5. Quelles négociations autour de l’articulation des temps sociaux sur les lieux de travail ?
Session croisée : RT18 Relations professionnelles et RT48 Articulation des temps sociaux
(proposition à déposer directement sur l'appel croisé)
Les négociations autour de l’articulation des temps sociaux se sont multipliées ces dernières années dans les entreprises, les administrations et les milieux syndicaux comme patronaux. Ce qui est alors nommé comme l'« équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle » ou la « conciliation » est au cœur de discussions chez les employeurs du privé et du public, menant par exemple à l’adoption du télétravail et de la semaine de 4 jours. C’est aussi le moteur de réflexions autour d’un compte épargne temps universel.
Deux pistes de questions pourront être explorées. D’abord, il s’agira d’étudier le contenu des négociations. Quels sont les différents dispositifs d’articulation mis en avant et quelles dimensions de la vie sociale des individus prétendent-ils prendre en compte ? Sur quelles justifications leur mise en place repose-t-elle ? Mais aussi, comment ces négociations laissent-elles de côté des enjeux tels que la réduction de temps de travail ou les horaires collectifs : en d’autres termes, à quoi l’articulation des temps sociaux sert-elle d’écran ?
Ensuite, une attention particulière pourra être portée aux acteurs de ces négociations. S’agit-il des acteurs traditionnels de la négociation collective, à savoir les élus et responsables syndicaux, qu’ils soient représentants de direction ou du personnel ? Ou est-ce qu’au contraire se développent des négociations qui contournent les syndicats des salariés, par exemple dans un cadre plus individualisé ?
Les communications pourront appréhender comment ces négociations s’articulent aussi avec des conflits, que ce soit au niveau interprofessionnel, des branches, des entreprises ou encore des établissements.
III. Articulation des temps sociaux : questions classiques et nouveaux enjeux
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Axe 6. Normes et pratiques de l’articulation des temps sociaux
Au-delà des analyses en lien avec les thématiques environnementales spécifiques portées par le congrès de l’AFS, les propositions de communications pourront se centrer sur les questions traditionnellement examinées par le réseau thématique Articulation des temps sociaux. Le RT48 se structure depuis plusieurs années autour de quelques questions directrices sur lesquelles pourront porter les propositions de communications. Ces dernières
pourront aborder les aspects structurels du « problème » de l’articulation des temps sociaux.
Quels sont les référentiels et activités institutionnelles qui structurent les temporalités dédiées à l’emploi, aux engagements familiaux, aux activités de
care ou aux activités de loisirs ? Quels sont les effets de processus travaillant en profondeur les coordonnées du « problème » de l’articulation des temps sociaux aujourd’hui : injonction à une vie familiale de « qualité » et à l’exercice d’une « bonne parentalité », injonction au bien-être individuel et au temps à soi ; diffusion de normes d’égalité entre les femmes et les hommes à des milieux sociaux variés ; recomposition des formes d’activités professionnelles (télétravail par exemple) et d’emploi (retour du travail indépendant sous des formes singulières) ? Les propositions de communications pourront aussi porter sur les expériences concrètes des individus en matière d’articulation des temps sociaux : nature des arrangements opérés par les individus ; rapports sociaux de genre, de classes, d’âge, de race qui façonnent les expériences individuelles ; configurations conjugales et familiales ; effets des organisations professionnelles dans la production des expériences en la matière.
Ces questions interrogent plus largement des manières de penser et pratiquer l’articulation des temps sociaux, manières qui varient selon les positions sociales pensées dans toute leur complexité (selon le niveau de diplôme et la position professionnelle, mais aussi le genre, les lignées familiales, les appartenances et/ou assignations raciales, les générations …) Il s’agit en ce sens de poursuivre l’analyse des conceptions socialement situées de la « conciliation ».
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Axe 7. Temporalités et matérialités des environnements numériques
Session croisée : RT11 Sociologie de la consommation et du numérique et RT48 Articulation des temps sociaux
(proposition à déposer directement sur l'appel croisé)
Cette session croisée des RT11 (Sociologie de la consommation et du numérique) et RT48 (Articulation des temps sociaux) invite les contributions à explorer les “environnements” au-delà du seul rapport à l’écologie, et plus précisément en lien avec le numérique. Lorsqu’il est question des « environnements numériques », ceux-ci sont ordinairement pensés comme un ensemble d’outils visant l’optimisation, la rationalisation et la quantification des productions et des activités (ENT,
self-tracking, agendas partagés, logiciels de pointage, bases de données en ligne, etc.). La session croisée propose de penser ces « environnements numériques » au prisme de la rationalisation, mais aussi par ses dimensions temporelles et matérielles.
Comment les espaces et outils numériques s’intègrent-ils concrètement dans les activités quotidiennes ? Quels arrangements permettent-ils ? Quelles sont les influences de ces équipements en termes d’organisation et d’articulation des temps domestiques, professionnels et de loisirs ? Enfin, comment les environnements numériques favorisent-ils l’émiettement ou l’accélération des temps et des tâches du quotidien ?
En plus de leur coût de production (économique comme écologique), qu’en est-il du coût social et d’usage ? Se pose ici la question de l’accessibilité de ces « avancées technologiques ». Qui est en mesure de les acquérir ? Outre le coût d’achat, quel est le coût d’appropriation ? Comment ces pratiques varient-elles en fonction des caractéristiques sociales des personnes ? Comment ces environnements et outils numériques participent-ils à la fabrique des inégalités sociales ?
Au-delà de la question de leur accessibilité, cette session a également pour objectif d’interroger les effets sur la répartition des tâches quotidiennes, et notamment sur l’orchestration des tâches domestiques, de production et de consommation. Comment les personnes s’organisent-elles, et de quelles manières le numérique leur permet de tenir leurs différents engagements ? Comment les personnes reconfigurent-elles la coordination du quotidien entre domicile, lieu de travail et autres activités (loisirs, associatives, civiques) ? Comment ces arrangements sont-ils négociés ?
Enfin, outre des pratiques concrètes d’articulation ou d’orchestration du temps et des activités, il peut s’agir de questionner la façon dont sont conçus et produits les environnements numériques. Du côté des créateurs et des promoteurs de ces environnements et de ces outils, comment sont-ils pensés et promus ? Avec quelles justifications (économie de temps, d’argent, de ressources…) ? Dans quelles mesures les questions relatives à l’articulation des temps sociaux et plus généralement leurs usagers sont-ils pris en compte par les concepteurs ?
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Modalités de soumission des propositions de communication :
Les
propositions (entre 3000 et 4000 signes, espaces compris)
devront être déposées en ligne sur le site de l’AFS avant le 15 janvier 2025. Elles présenteront l’axe dans lequel elles souhaitent s’intégrer, un titre, les questions de recherche traitées, les méthodologies utilisées et les résultats envisagés. Les communications de jeunes chercheur·ses sont particulièrement bienvenues.
Pour participer au Congrès, il faudra adhérer à l’AFS et s’acquitter de droits d’inscription. Lors du précédent Congrès de 2023, l’adhésion s’élevait à 41€ pour les non-titulaires et 103€ pour les titulaires ; l’inscription au Congrès à 61€ pour les non-titulaires et 152€ pour les titulaires. Les tarifs pour le Congrès de Toulouse seront légèrement plus élevés (inflation). Les collègues non-titulaires qui ne peuvent être financé·es par leur laboratoire pourront, sur présentation de dossier, être exonéré·es des droits d’inscription et bénéficier d’une aide pour le transport et le logement. La procédure pour la demande d’exonération des droits d’inscription sera précisée plus tard.
Pour information, l’accès au Congrès se veut le plus inclusif possible :
- Des dispositifs de lutte contre les violences sexistes et sexuelles seront mis en place.
- Si vous avez besoin de services d’accompagnement en raison d’une situation de handicap, vous pourrez le signaler dans le cas où votre communication est retenue. Le comité d’organisation mettra tout en œuvre pour essayer de répondre à vos demandes.
- Si vous avez besoin de services de crèche pendant le Congrès vous pourrez le signaler au moment de l’inscription. Le comité local essayera de proposer un mode de garde.
Rejoindre le RT 48 Articulation des Temps Sociaux :
Le RT48 désigne ses co-responsables et renouvelle son bureau lors des AG à chaque congrès.
Il est également possible de rejoindre le bureau du RT entre deux congrès. Pour ce faire, vous pouvez adresser un court e-mail vous présentant et en précisant vos motivations (liens entre vos travaux et les thématiques portées par le RT) aux responsables du RT. Ces derniers présenteront votre candidature au bureau et reviendront vers vous ensuite pour vous faire savoir la réponse du bureau, ainsi que pour vous présenter le RT et répondre à vos questions éventuelles.
Bureau : Pascal Barbier, Laëtitia Bideau, Mathéa Boudinet, Lamia Bouadi, Myriam Chatot, Victoria Chantseva, Sophie Dessein, Bernard Fusulier, Jeanne Ganault, Julie Landour, Marianne Le Gagneur, Alexandra Piesen, Sebastian Pizarro Erazo, Gwendal Roblin, Capucine Rauch, Alix Sponton, Abdia Touahria-Gaillard, Valerya Viera Giraldo
Co-responsables : Marianne Le Gagneur (
Marianne.LeGagneur@uliege.be) ; Sebastian Pizarro Erazo (
sebastian.pizarroe@gmail.com) et Valerya Viera Giraldo (
valeryavierag@gmail.com )
Contact :
rt48.afs@gmail.com
Carnet hypothèse :
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