RT19

Appel à communications du RT19 Santé, Médecine, Maladie, Handicap

Congrès de l’Association Française de Sociologie 

10ème édition, Lyon, 4-7 juillet 2023

Appel à communications du RT19 - Santé, Médecine, Maladie, Handicap

Dans cet appel à communication pour le congrès de l’AFS 2023 qui se tiendra à Lyon du 4 au 7 juillet, nous proposons 7 axes de réflexion sur les intersections et les circulations qui viennent éclairer les enjeux sociaux contemporains dans les domaines de la santé, de la maladie, de la médecine et du handicap. Les propositions de communications en adéquation avec l’argumentaire du congrès et le périmètre de notre Réseau Thématique mais qui ne  trouveraient pas à s’inscrire dans un des axes proposés ci-dessous seront également considérées.  Date limite de proposition d’une communication : 31 janvier 2023 --> repoussée au 3 février à minuit !    Axe A. Savoirs et pratiques de soins alternatives : résistances, circulations, intersections Nous accueillons ici les communications portant sur les savoirs et pratiques de soins dites “alternatives”. Dans quelle mesure la circulation de ces savoirs et pratiques de soins constituent-elles des formes de résistance dans un champ de la santé marqué par des rapports et des luttes de pouvoir ? Nous invitons des recherches qui permettent d’éclairer la dimension socio-historique de la (re)production et de la circulation des savoirs et pratiques de soins alternatives. Différents travaux ont documenté la construction historique de la distinction entre “médecines alternatives” et “médecines conventionnelles" au regard de l’institutionnalisation de la médecine : notamment avec la constitution de la profession médicale, la laïcisation des soins de santé mais aussi avec la normalisation et la standardisation des pratiques médicales. L’histoire de la médecine est façonnée par des rapports de force entre professions (para)médicales et des luttes pour la reconnaissance de leur légitimité par l’État. Les frontières entre médecines alternatives et conventionnelles restent toutefois poreuses. Nous sommes intéressé·es par les communications qui mettent en lumière la complexité des liens - concurrence, complémentarité, rejet - existant entre ces types de médecines.   Cette session cherche aussi à situer ces savoirs et pratiques alternatives. Quels profils et trajectoires sociales développent quels types de savoirs et de pratiques alternatives ? Comment les rapports sociaux de genre, de race, de colonialité, de classe, d’âge ou de handicap les structurent-ils ? À travers quelles situations ces savoirs et pratiques se rendent-elles visibles ? De nombreux travaux ont documenté le rôle de la médecine dans la reproduction de rapports de pouvoir à l’encontre des populations minorisées. Les médecines dites alternatives ne sont toutefois pas l'apanage des populations dominées socialement. Et, si ces pratiques peuvent redoubler la relégation des groupes qui les mettent en œuvre, elles peuvent aussi relever d’une forme de distinction sociale. Les mouvements de contestation des campagnes de vaccination contre le Covid 19 ont récemment mis en lumière la nécessité d’interroger les formes de résistances contemporaines à la médicalisation, comme des pratiques alternatives qui y répondent. Ces pratiques, qui contestent l’hégémonie de la médecine et les rapports de domination qui la structurent, peuvent être en effet des formes de résistance comme l’expression d’une position favorisée dans l’espace social.    Enfin, cette session vise à interroger les formes organisationnelles prises par les médecines alternatives. Comment se manifestent et s’organisent ces médecines alternatives aujourd’hui?  Face aux expériences de violences médicales à l’encontre des minorités sexuelles et de genre, des espaces de santé communautaire - par et pour les personnes concernées - ont émergé en France. Ces espaces, plus ou moins médicalisés, constituent un sous-champ de la santé qui a développé des savoirs et des pratiques alternatives qui se veulent adaptées aux besoins de santé des publics LGBTI+. Par ailleurs, face à la critique d’un faible investissement de la recherche médicale sur certaines pathologies (e.g. endométriose), les réseaux sociaux sont devenus des sources d’informations précieuses pour les malades sur les voies thérapeutiques alternatives. Comment ces nouvelles formes organisationnelles impactent-elle la circulation des savoirs et pratiques de soins alternatives ?    Axe B. À quelles intersections se constituent les handicaps ? Dans cet axe, nous invitons les travaux qui abordent le handicap comme un processus social à s'emparer de ces réflexions à partir de la question suivante : à l'intersection de quels phénomènes et rapports sociaux les handicaps se constituent-ils ? En France, les propriétés physiques ou psychiques des individus sont mobilisées comme critères médicaux et institutionnels essentiels pour déterminer des degrés de handicaps et pour statuer sur les besoins ou les aménagements auxquels ils peuvent prétendre. Pourtant ces propriétés ne déterminent pas en elles-mêmes les conditions et les modalités de participation à la vie sociale, le degré d'inclusion scolaire, professionnelle, ou encore l'accès à des relations amicales ou amoureuses. On s'intéressera dès lors aux dynamiques et aux épreuves qui participent à produire des handicaps. Au croisement de quelles expériences, catégories et luttes, émergent les situations de handicap ? Comment certains processus (évaluation, catégorisation, stigmatisation, normalisation, institutionnalisation, etc.) et rapports sociaux (classe, genre, sexualité, âge, racialisation, etc.) s'articulent-ils avec l'expérience du handicap pour les personnes concernées ? Quels sont les effets de l’imbrication de ces dimensions de la vie sociale dans les trajectoires des personnes handicapées ?  Nous invitons à présenter des recherches ancrées dans un travail d'enquête, aussi bien qualitatif (comme par exemple des travaux qui déplient empiriquement des épreuves et des trajectoires de personnes concernées par un ou des handicaps reconnus institutionnellement ou autodéfinis) que quantitatifs (comme par exemple des recherches qui éclairent la manière dont les handicaps sont appréhendés - ou pas - par les enquêtes quantitatives en santé publique ou sociologie de la santé). On pourra  analyser à partir de matériaux empiriques un ou des enjeux qui émaillent ces parcours. On pourra étudier l'articulation entre les statuts et les conditions sociales : par exemple, comment s’expriment les processus de catégorisation des handicaps sur les conditions d'existence des personnes concernées ? Dans quelles conditions la circulation des personnes en situation de handicap  dans l'espace social est- elle rendue possible ? Comment le genre et le handicap s'affectent-ils réciproquement ?    Axe C en collaboration avec le RT24 : Migrations, santé et intersectionnalité On accueillera ici avec intérêt les communications s’interrogeant sur ce que les migrations dans leur imbrication avec les rapports de sexe, de race et de classe font à la santé. Il s’agira de questionner l’effet des migrations sur la santé des personnes migrantes mais aussi la façon dont ces dernières sont largement assignées au travail de care et mobilisées dans les systèmes de santé et de soins. Différents travaux montrent comment le durcissement des frontières contribue à dégrader les conditions de vie des migrant·e·s, à rendre problématique leur accès à la santé et aux soins et à les surexposer à certaines maladies dont le VIH. À cet égard, comment les politiques migratoires, les discriminations et la stigmatisation des personnes migrantes affectent-elles leur accès aux soins, la qualité de leur prise en charge et leurs rapports à la santé ? On pourra notamment questionner la façon dont les différents rapports sociaux s’articulent en la matière pour produire des configurations singulières, parfois contradictoires, voire paradoxales. Ainsi comment les discours compassionnels qui appellent à “sauver” les femmes migrantes et les minorités sexuelles des pays du Sud entrent-ils en contradiction avec la stigmatisation des migrant·e·s comme bénéficiaires indu·e·s du système de santé ? Quels en sont les effets en matière d’accès aux soins en fonction des différents éléments de la position sociale (sexe, classe, race, génération, sexualité, etc.) ? Parallèlement depuis les années 1970, les femmes (et les hommes) du Tiers-monde sont désormais « intégrées » dans l’économie mondiale comme productrices de force de travail qui vont être utilisées dans les régions industrialisées du monde, tout particulièrement dans les secteurs de la santé et des soins. Les communications pourront interroger l’assignation des personnes migrantes à ces secteurs, la division du travail (internationale ou locale) qui y prend place et les phénomènes d’exploitation qui entrent en jeu. Dans cette perspective, les effets de l’assignation de certains hommes migrants au travail du care sur les rapports sociaux de sexe et de race et sur les masculinités pourront être questionnés.   Axe D en collaboration avec le RT4 : L'injonction à l'autonomie dans les champs de la santé et de l'éducation Cet axe interroge l'accompagnement des professionnel·les à l'autonomisation des publics et notamment des jeunes dans des dispositifs sanitaires, sociaux ou scolaires. Dans le contexte d'une injonction croissante à l'autonomie et à l’inclusion, qui se manifeste notamment par la prise en compte et la circulation des savoirs expérientiels des usager·es (loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale, loi Kouchner du 4 mars 2002, loi HPST du 21 juillet 2009 et de nombreux plans de santé : Plan maladie chronique 2007-2011, Plan de santé mentale 2011-2015), il s'agit d'interroger dans cet axe les collaborations professionnelles en éducation et santé (et particulièrement santé mentale) autour des trajectoires sociales, de maladies et scolaires, notamment dans une perspective d'éducation inclusive. D'autres angles problématiques pourront être proposés, comme celui de la formation des professionnel·les de l'éducation aux enjeux de santé, les modules d'éducation à la santé à destination des enfants et les dynamiques de co-formation et de co-apprentissage entre les professionnels de l’éducation et les bénéficiaires. Les propositions sont également invitées à questionner l’intersection des regards des professionnel·les, parents et enfants pour interroger les qualifications des difficultés des usager·es dans les institutions scolaires, sanitaires ou sociales qui les prennent en charge.  Enfin, un angle pourra être consacré aux « jeunes », destinataires des politiques éducatives et de santé publique visant leur autonomisation. Quelles ressources sont mobilisées pour répondre à ces injonctions à l’autonomie ? Il s’agira notamment d’interroger la notion de compétences (e.g. savoir résoudre les problèmes et prendre des décisions) mais également celle de dispositions pour comprendre comment les jeunes pris en charge s’approprient les messages de prévention dans le domaine de la santé, notamment à partir de ce dispositif qu’est l’« éducation à la santé ». L’articulation entre les dispositions transmises par le milieu familial et social et les compétences attendues des jeunes en milieu scolaire sera l’occasion d’analyser comment se transmettent les messages de prévention et comment ils sont perçus voire appropriés.   Axe E en collaboration avec le RT31 : L'activité physique à l'intersection des mondes sociaux du sport et de la santé Depuis les années 1960, la prévention des « maladies de civilisation » par les activités physiques est progressivement devenue un élément clé des politiques publiques de santé. Cette évolution a conduit à l’émergence de nouvelles professions spécialisées, où les activités physiques s’intègrent dans le panel des outils de soin destinés à des publics en situation de handicap, âgés ou atteints d’affection de longue durée. La promotion de l’activité physique est aujourd’hui scientifiquement reconnue à la fois comme un facteur de santé pour l’ensemble de la population, et comme une thérapeutique non médicamenteuse pour les maladies chroniques. Récemment, cette articulation a été renforcée par l’ouverture du droit de prescription d’activités physiques adaptées à l’ensemble des médecins. À l’intersection de la médecine et de l’activité physique, l’enjeu de cette session sera d’interroger concrètement ce que la santé (physique, mentale et sociale) fait aux activités physiques, mais également ce que les activités physiques font à la santé. En quoi les pratiques physiques façonnent-elles les pratiques de santé et vice versa ? En quoi les rapports au sport façonnent-ils les rapports à la santé et vice versa ? Nous encourageons ainsi les propositions à questionner les influences mutuelles entre les socialisations sportive et sanitaire des individus. En quoi la santé conditionne-t-elle les parcours de vie sportifs ? Quels rôles peuvent jouer les activités physiques dans les « carrières de malades chroniques », dans le quotidien de personnes vieillissantes ou en situation de handicap ? Comment se construisent et s’entremêlent les dispositions sanitaires et sportives, mais également les savoirs et les compétences connexes (alimentation, sommeil, hygiène de vie, sexualité, mobilités, techniques de soin/auto-soin, auto-quantification, etc.) ? Que nous apprennent les relations entre les activités physiques et la santé sur les rapports des individus à leur corps ?  Par ailleurs, les communications qui porteront sur les relations entre médecins et professionnel·le·s du sport-santé, celles qui traiteront des dynamiques territoriales ou encore des relations soignant·e·s-soigné·e·s, trouveront ici toute leur place.  Au même titre, les propositions qui questionneront l’évidence ainsi que les conditions d’existence d’un lien positif entre activités physiques/sportives et santé sont encouragées. De même, les travaux qui explorent les enjeux et les modalités de mise en place de l’action publique seront les bienvenus, y compris ceux qui s’inscrivent dans une démarche critique de l’approche santéiste, dénonçant la « morale de l’effort », le gouvernement des corps ou les inégalités sociales de santé. Il sera particulièrement intéressant d’interroger les formes d’adhésion ou au contraire les stratégies de résistance aux normes de « santé active ». Par exemple, on pourra questionner la mise en œuvre ainsi que la réception des mesures politiques mises en place en réponse à la crise sanitaire du Covid-19 en se demandant en quoi ces actions ont influencé les pratiques physiques/sportives.   Axe F en collaboration avec le RT 29 : Promesses technologiques, travail médical et pratiques de soin aux personnes ou aux choses  Cet axe vise à explorer les usages et enjeux des technologies dans les pratiques de soin, concernant les personnes (santé, médecine, care) ou les choses (entretien, maintenance, réparation). Proposé par  les réseaux 19 et 29, il invite à la présentation de travaux qui portent sur la santé des individus ou sur leurs conditions d’existence matérielle. Inspiré de l’essor des maintenance et repair studies en France, ce croisement d’objets au sein d’une session commune vise, par la discussion, à nourrir l’étude des pratiques et des technologies médicales à partir des travaux sur les objets et infrastructures matérielles, et inversement à introduire des questions fortes dans les SHS en santé au sein des études sur les objets. Les communications pourront par exemple soulever des enjeux d’inégalité d’accès aux soins de soi, de ses conditions d’existence ou de travail : qui est en mesure d’entretenir son logement, de prêter attention à son alimentation ou de consulter un.e psychothérapeute ? Aussi comment les transformations technologiques affectent-elles les espoirs, les rapports de pouvoirs et les dissymétries de connaissances entre des professionnels de santé et des bénéficiaires, des entreprises et des usager.e.s ? Les travaux intéressés par les effets du développement des technologies numériques - comme les algorithmes d’aide au diagnostic ou la télémédecine - sur l’accès au soin ou sur la relation professionnelle/usagère seront les bienvenus. Comment les attentes, les besoins ou les réserves des individus (patients, travailleurs, usagers, consommateurs) sont-ils pris en compte dans les processus de conception, d’évaluation et de régulation des outils de soin ? Dans quelle mesure les patientes, les travailleuses ou les usagères peuvent-elles faire entendre leurs voix et faire valoir leurs droits à l’entretien de leur santé ou à celui de leurs environnements ? Les dynamiques étudiées dans les communications pourront également porter sur les promesses, les attentes et les controverses qui entourent les innovations sociotechniques : qui sont les concepteurs et promoteurs de ces technologies ? Comment mobilisent-ils ces promesses dans leurs discours ? Avec quelles finalités du soin - aux personnes ou aux choses - sont-elles mises au point et mobilisées ? Sont encouragées les enquêtes portant sur les conceptions du soin que ces technologies embarquent et comment elles se transforment au gré de leur circulations entre plusieurs arènes (scientifiques, industrielles, politiques, etc.). En médecine, à quelles conditions ces outils affectent-ils la santé des populations (utilité des bases de données de santé, de la médecine de précision) ? Les propositions portant sur les dynamiques d’appropriation, de co-conception ou de subversion de ces technologies (piratage, statactivisme, pratiques d’auto surveillance, self-care etc.) seront aussi les bienvenues. Ou encore, comment le développement d’outils émergents renouvelle-t-il les formes de la critique, les activismes (thérapeutique, environnemental…) et les savoirs profanes ? Les travaux présentés pourront en outre s’intéresser aux pratiques de maintenance des machines, des instruments et des infrastructures (comme les hôpitaux) qui rendent possibles la concrétisation de ces promesses sur le temps long de leur inscription dans les pratiques de santé. Seront particulièrement appréciés les travaux empiriques, y compris de jeunes recherches et enquêtes en cours, auprès des institutions, acteurs professionnels et récipiendaires de soin : qu’il s’agisse d’industriels, de régulateurs, de médecins, de patients ou encore d’utilisateurs d’outils et de technologies, etc.   Axe G en collaboration avec le RT18 :  La santé au cœur de la négociation collective  Construit au croisement des RT18 (relations professionnelles) et 19 (santé, médecine, maladie et handicap) de l’AFS, cet axe souhaite rassembler dans une session commune des interventions qui permettraient tout d’abord d’éclairer dans quelle mesure la crise sanitaire récente a suscité une résurgence des enjeux de santé dans les négociations collectives.  On pourra ainsi interroger la manière dont les conditions et les organisations de travail ont été pensées, contestées et/ou négociées par les travailleur·ses dans les entreprises, comme dans le système de santé (EHPAD, cliniques et/ou les hôpitaux, etc.), tout en soulevant la question des moyens, des salaires et des emplois, évoqués par le Ségur de la santé. Si les travailleur·ses « essentiel·les », de « première ligne », ont dans un premier temps fait face à l’urgence de la crise, comment l’exposition aux risques du travail a-t-elle été appréhendée par eux·lles, les directions et les organisations syndicales pour tenir dans la durée ? Comment la pandémie a-t-elle reconfiguré les inégalités de santé au travail, dans des environnements déjà marqués par la pénibilité ou l’exposition aux risques sanitaires ? Quelle conflictualité autour des enjeux de santé au travail a pu s’exprimer à cette occasion ?  Sans se limiter au contexte pandémique, les communications pourront s’intéresser plus largement à la manière dont la santé des travailleur·ses et des populations fait l’objet - ou pas - de négociations et de conflits dans le monde du travail.

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Modalités de soumission aux axes A, B, et hors axes :

 

Les propositions de communication sont à déposer ci-dessous au plus tard le 31 janvier.

Le format attendu des propositions est de 3 000 signes maximum, comprenant :

– le titre,

– l’objet de recherche,

– la question de recherche ou la problématique,

le ou les dispositifs méthodologiques mobilisés, 

– les principaux résultats,

– le ou les axes visés dans l’appel à communication ci-dessus (ou de mentionner si la proposition est hors axes),

– Merci de mentionner également s’il s’agit d’un travail de thèse en cours.

Les propositions seront sélectionnées de manière anonymisée en fonction de leur qualité scientifique et de l’intérêt du matériau empirique mobilisé. Pour répondre à cet appel à communication, merci de vous connecter sur le site https://afs-socio.fr/ et de vous référer aux tutoriels fournis par l’association.

 

Modalités de soumission aux axes C, D, E, F, G :

 

Les propositions de communication sont à déposer au plus tard le 31 janvier via le site internet de l’AFS.

Consultez la page spécifique de l’argumentaire de l'axe inter RT qui vous intéresse pour connaître les modalités de soumission et répondre ainsi aux axes C, D, E, F, G.













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